Le Parti Pirate dit Oui aux bourses d’étude, et au diagnostic préimplémentatoire, Non à la LRTV! Liberté de parole laissée quant à l’initiative sur les droits successoraux.

Pour le Parti Pirate Suisse(PPS), les enjeux des prochaines votations sont clairs, les pirates se sont prononcés :
  • Oui l’initiative sur les bourses d’étude
  • Oui au référendum obligatoire au diagnostic préimplémentatoire
  • Non à la nouvelle la loi fédérale sur la radio et la télévision
  • Liberté de parole concernant l’initiative sur les droits successoraux

Concernant l’initiative sur les bourses d’étude, Guillaume Saouli, Co-Président du PPS: « Pour les pirates, l’égalité des chances et l’accès à la formation sont très important. La pierre angulaire de l’égalité des chances pour accéder à des études de IIIe cycle est un accès harmonisé aux bourses d’étude,  afin qu’il n’y ait plus 26 façons, 26 parcours du combattant, pour  permettre l’accès au financement des études, le PPS s’engage résolument pour permettre le développement de la connaissance, qui, in fine, est la seule vrai matière première que la Suisse possède. » Le contre-projet indirect est par trop timoré pour atteindre cet objectif ambitieux!
Les Pirates soutiennent les possibilités que le diagnostic préimplémentatoire, qui offre la possibilité d’identifier précocement des maladies ou handicaps lourds.  Ils insistent sur le fait que la liberté des futurs parents doit être  préservée quant à l’utilisation de tels moyens, et que le cadre  juridique doit néanmoins fixer des limites strictes, afin que le choix  des parents puisse se faire sur les risques de maladies graves.
Pour les Pirates,  la loi sur la radio et la télévision est un anachronisme, qui introduit  un impôt injuste, sans avoir intégré la transformation profonde des  médias, la convergence, qui a un impact sur les mandats de la SSR. De plus, le PPS considère que la formulation de cet impôt déguisé est anticonstitutionnelle, et, de ce fait, rejette cette loi.
Liberté de parole concernant l’initiative populaire «Imposer les successions de plusieurs millions pour financer notre AVS (Réforme de la fiscalité successorale)», ce résultat fut le fruit d’un vif débat. L’évaluation d’autres outils, comme un revenu de base inconditionnel, sont des alternatives à l’AVS que le PPS soutient.