Le Part Pirate Suisse démontre au quotidien que respecter les préconisations du GRECO c'est possible !
Le Groupe d’États contre la Corruption (Greco) fustige la Suisse pour la n-ième fois sur le manque de transparence du financement de la politique. Le Parti Pirate Suisse (PPS) s’étonne des réticences des autorités fédérales à imposer des standards de transparence aux partis politiques. Ont-ils tant à cacher ? Pour sa part, depuis sa création, le PPS a instauré une politique de transparence complète.
Les dons et les contributions reçues par le PPS sont traités selon un principe simple :
- Divulgation des donateurs « personnes morales » dès le premier franc,
- Divulgation des donateurs « personnes physiques » au-delà d’un montant de 500.- CHF
Non seulement les finances du PPS sont transparentes, mais le fonctionnement du parti l’est également ! Toutes les séances de comité sont publiques, les documents sont disponibles en ligne. Tous sont invités à y participer.
La position du Parti Pirate Suisse est claire sur le sujet, et c’est une de nos priorités :
« Les parlementaires et leurs partis doivent respecter les normes internationales de transparence et de lutte contre la corruption, et, pour ce faire, la corruption et les pots-de-vin doivent être rendus totalement illégaux. »
Exiger la surveillance totale du citoyen par le biais de moyens orwelliens, mais ne pas vouloir se soumettre au regard du souverain, est-ce là une manière intègre pour les autorités de mener les affaires du pays ? Le Parti Pirate estime que non, et il démontre au quotidien qu’un parti peut et doit être transparent, afin que le citoyen participe pleinement à la construction de notre société.